(À l'écran : Écran divisé, en noir et blanc, montrant l'animatrice Joelle Hamilton et l'invitée Sabrina Guay, occupant chacune une moitié de l'écran, vues de face. Toutes deux sont assises à une table devant un micro sur pied. Une série de plans fixes tirés de l'entrevue à venir se succèdent rapidement. L'écran se divise au milieu et les deux moitiés sont balayées vers l'extérieur pour montrer, en couleur, Joelle assise à une table où sont posés un micro sur pied, un verre d'eau et un ordinateur portable. Un autre micro sur pied est visible à l'avant-plan.)

0:00:01

JOELLE HAMILTON : Que pouvez-vous nous dire au sujet des acheteurs en 2025?

(À l'écran : La caméra passe à une vue de côté montrant Sabrina Guay et Joelle Hamilton à la droite, assises de part et d'autre d'une table où sont posés deux micros sur pied, deux verres d'eau et deux ordinateurs portables. Une vitre partiellement givrée est visible en arrière-plan.)

0:00:04

SABRINA GUAY : On a ajouté des questions sur les logements secondaires, sur la santé financière et sur la technologie.

(À l'écran : La caméra passe à une vue de face de Sabrina parlant au micro. Au milieu de la réponse, la caméra revient à la vue de côté de Sabrina et Joelle.)

0:00:10

SABRINA GUAY : Ça nous permet de comprendre les comportements, les attitudes et les attentes des emprunteurs hypothécaires.

(À l'écran : La caméra passe à une vue de face de Joelle, puis revient au plan de côté au milieu de la question.)

0:00:18

JOELLE HAMILTON : Qu'est-ce que les acheteurs avaient à dire au sujet du prix qu'ils ont payé?

(À l'écran : La caméra passe à une vue de face de Sabrina, revient à la vue de côté, puis revient à la vue de face de Sabrina.)

0:00:23

SABRINA GUAY : À la SCHL, on soutient les professionnels hypothécaires. On leur fournit des outils et des informations pour les aider à mieux comprendre les consommateurs et leurs clients.

(À l'écran : Introduction animée comprenant diverses silhouettes de maisons et de portes, ainsi qu'une barre de recherche dans laquelle les mots « marché canadien de l'habitation » sont inscrits.)

0:00:35

NARRATRICE : Vous écoutez « Sous notre toit », balado sur le logement au Canada, où nous faisons part des dernières nouvelles sur le marché canadien de l'habitation.

(Texte à l'écran : Sous notre toit, Balado sur le logement au Canada)

(À l'écran : L'écran-titre est balayé et passe à une vue de face de Joelle Hamilton s'adressant directement à la caméra.)

0:00:50

JOELLE HAMILTON : Bonjour et bienvenue au balado « Sous notre toit ». Je suis votre animatrice, Joelle Hamilton.

(Texte à l'écran, pendant quelques secondes : Joelle Hamilton, Communications et marketing - SCHL)

0:00:56

JOELLE HAMILTON : En janvier, nous avons parlé à près de 4 000 personnes qui avaient récemment fait une transaction hypothécaire au Canada. Certaines ont emprunté pour acheter une propriété. D'autres ont renouvelé ou refinancé leur prêt hypothécaire. Nous leur avons demandé ce qu'elles pensent de l'achat d'une propriété et des prêts hypothécaires, et nous avons aussi voulu savoir à qui elles ont demandé de l'aide pendant leurs démarches.

(À l'écran : La caméra passe à une vue de face de Sabrina, puis à la vue de côté de Sabrina et Joelle durant quelques secondes. La caméra revient de nouveau à la vue de face de Joelle, puis à la vue de côté.)

0:01:22

JOELLE HAMILTON : Sabrina Guay est avec moi, aujourd'hui, dans le studio. Sabrina, c'est la deuxième année que tu es avec nous pour nous parler de l'Enquête auprès des emprunteurs hypothécaires, que je vais maintenant simplement appeler « l'Enquête ». [rire] Donc, rebienvenue, Sabrina.

(À l'écran : La caméra passe à la vue de face de Sabrina.)

(Texte à l'écran, pendant quelques secondes : Sabrina Guay, Spécialiste de la formation - SCHL)

0:01:40

SABRINA GUAY : Merci, Joelle. C'est une année importante pour l'Enquête. C'est notre vingt-cinquième édition. Alors, merci beaucoup de m'avoir réinvitée cette année pour discuter des résultats.

(À l'écran : La caméra passe à la vue de face de Joelle, puis à la vue de côté de Sabrina et Joelle au milieu de la question.)

0:01:51

JOELLE HAMILTON : Pour ceux et celles qui visionnent notre balado aujourd'hui, qui ne sont pas familiers avec l'Enquête, est-ce que tu pourrais nous expliquer en quoi consiste l'Enquête auprès des emprunteurs hypothécaires?

(À l'écran : La caméra passe à la vue de face de Sabrina.)

0:02:07

SABRINA GUAY : Oui. C'est un sondage, le plus vaste et le plus complet au Canada, sur les emprunteurs hypothécaires. Ça nous permet d'entendre directement de ceux qui ont acheté une maison et contracté un prêt hypothécaire pour le faire, ceux qui ont renouvelé leur prêt hypothécaire ou ceux qui ont refinancé leur prêt hypothécaire.

Ça nous permet de comprendre les comportements, les attitudes et les attentes des emprunteurs hypothécaires tout au long du cycle d'être propriétaire ou d'obtenir un prêt hypothécaire.

(À l'écran : La caméra passe à la vue de face de Joelle.)

0:02:36

JOELLE HAMILTON : En quoi est-ce que les résultats de cette enquête sont utiles pour tes clients?

(À l'écran : La caméra passe à la vue de face de Sabrina.)

0:02:42

SABRINA GUAY : À la SCHL, on soutient les professionnels hypothécaires. On leur fournit des outils et des informations pour les aider à mieux comprendre les consommateurs et leurs clients. Alors, l'Enquête peut leur fournir des informations sur, comme je l'ai mentionné, les attitudes, les comportements et les attentes.

(À l'écran : La caméra demeure sur la vue de face de Sabrina, puis passe à la vue de côté de Sabrina et Joelle après quelques instants.)

0:03:04

SABRINA GUAY : Ensuite, les prêteurs et les courtiers hypothécaires peuvent revoir leurs produits, leurs services et l'expérience qu'ils offrent à leurs clients pour améliorer la satisfaction. Et aussi, ça leur permet de faire des plans stratégiques quand il y a des fluctuations de préférences chez les consommateurs et même sur le marché.

(À l'écran : La caméra passe à la vue de face de Joelle.)

0:03:27

JOELLE HAMILTON : Comment l'Enquête a-t-elle évolué au cours des vingt-cinq dernières années?

(À l'écran : La caméra passe à la vue de face de Sabrina.)

0:03:33

SABRINA GUAY : Chaque année, on révise tout le sondage, chaque question. On va garder des questions pour qu'on puisse faire des comparaisons historiques. Est-ce qu'il y a des tendances, des fluctuations?

(À l'écran : La caméra demeure sur la vue de face de Sabrina, puis passe à la vue de côté de Sabrina et Joelle après un bref instant. La caméra passe de nouveau à la vue de face de Sabrina au milieu de la réponse.)

0:03:44

SABRINA GUAY : On va aussi ajouter des questions pour nous permettre de comprendre l'environnement actuel. Cette année, on a ajouté plus de questions sur l'efficacité énergétique. On a ajouté des questions sur les logements secondaires, sur la santé financière et sur la technologie, parce que ça change tout le temps. Alors, le sondage, c'est une publication annuelle vraiment essentielle pour l'industrie hypothécaire.

(À l'écran : La caméra passe à la vue de face de Joelle.)

0:04:08

JOELLE HAMILTON : Selon l'Enquête, qu'est-ce qu'on a observé l'an passé?

(À l'écran : La caméra passe à la vue de côté de Sabrina et Joelle.)

0:04:12

SABRINA GUAY : Ce qu'on voit dans l'Enquête, c'est que le nombre de transactions est resté stable d'une année à l'autre. Environ 16 % des Canadiens ont contracté un prêt hypothécaire cette année.

(À l'écran : La caméra passe à la vue de face de Sabrina.)

0:04:23

SABRINA GUAY : Et on a vu des petites différences régionales comparativement à l'année passée. Si on prend, disons, la Colombie-Britannique, par exemple, l'année dernière, c'était la province avec le moins de transactions hypothécaires. Cette année, c'est la province avec le plus de transactions hypothécaires. Alors, il y a des petites fluctuations là. Aussi, dans le sondage, cette année, on a vu que 65 % des gens qui font une transaction hypothécaire, c'est pour renouveler leur hypothèque.

(À l'écran : La caméra demeure sur la vue de face de Sabrina.)

(Texte à l'écran : Un bandeau « S'ABONNER » apparaît durant quelques secondes.)

0:04:49

SABRINA GUAY : Et quand on pense au cycle d'être propriétaire, on n'achète pas des maisons tous les jours ou même dans notre vie. On en achète peut-être quelques-unes. Même chose avec un refinancement. On va peut-être le faire quelques fois dans notre vie, dépendamment de comment ça va et des occasions dont on veut profiter. Mais le renouvellement, il va se reproduire plusieurs fois, typiquement, chaque trois à cinq ans. Alors, c'est la transaction qu'on voit le plus souvent. Ce qui était vraiment encourageant, cette année, c'est qu'on a vu une augmentation des premiers acheteurs. Plus de gens ont été capables de rentrer dans le marché immobilier cette année que l'année dernière.

(À l'écran : La caméra passe à la vue de face de Joelle.)

0:05:28

JOELLE HAMILTON : Avant de parler de ce qu'elles avaient à dire au sujet de leur expérience, peux-tu nous décrire le profil de ces personnes?

(À l'écran : La caméra passe à la vue de face de Sabrina.)

0:05:36

SABRINA GUAY : Oui, certainement. Près de la moitié des emprunteurs hypothécaires sont âgés de 25 à 44 ans. C'est vraiment ce groupe-là de gens qui vont conduire le marché immobilier et le marché hypothécaire. Près de 80 % d'entre eux ont terminé des études postsecondaires et environ 70 % d'entre eux sont mariés ou vivent en union de fait; 20 % sont des personnes seules, célibataires. Du côté du revenu, on voit qu'environ 43 % des ménages ont un revenu de 150 000 $ et plus, et les deux tiers des emprunteurs hypothécaires vivent dans des maisons unifamiliales, des maisons détachées. Ça dépend un peu des régions. C'est sûr que dans les centres plus urbains, on voit un petit peu plus de condos, de maisons en rangées, de maisons jumelées.

Mais la tendance, c'est vraiment des maisons unifamiliales, partout au Canada. Ce qui était intéressant, c'est que 40 % de nos répondants ont fait une transaction hypothécaire pour une propriété locative, ce qui démontre un intérêt quand même assez fort pour le marché immobilier du Canada.

(À l'écran : La caméra passe à la vue de face de Joelle.)

0:06:43

JOELLE HAMILTON : Et que pouvez-vous nous dire au sujet des acheteurs en 2025?

(À l'écran : La caméra passe à la vue de face de Sabrina.)

0:06:47

SABRINA GUAY : En 2025, le sondage a indiqué qu'il y a eu plus de premiers acheteurs et un petit peu moins de racheteurs, c'est-à-dire de personnes qui étaient déjà propriétaires et qui ont acheté une autre propriété.

(À l'écran : La caméra passe à la vue de côté de Sabrina et Joelle.)

0:07:00

SABRINA GUAY : On voit aussi que la raison principale d'acheter, c'était parce qu'ils étaient prêts financièrement. Disons, ils ont accumulé leur mise de fonds et là, ils peuvent acheter.

(À l'écran : La caméra passe à la vue de face de Sabrina.)

0:07:10

SABRINA GUAY : Un fait intéressant, c'est qu'un tiers de ceux qui ont acheté une maison, c'était parce qu'ils avaient une crainte de la hausse des prix des maisons. Donc, ils ont décidé d'agir maintenant, pensant que ça va leur coûter plus cher dans le futur s'ils attendent. Alors, ça, c'était quelque chose d'intéressant, cette année.

(À l'écran : La caméra passe à la vue de face de Joelle.)

0:07:28

JOELLE HAMILTON : Qu'est-ce que les acheteurs avaient à dire au sujet du prix qu'ils ont payé et du financement de leur achat?

(À l'écran : La caméra passe à la vue de face de Sabrina.)

0:07:34

SABRINA GUAY : C'est une bonne question parce que cette année, le sondage nous a démontré que plus d'acheteurs ont épuisé leur budget. La moitié ou un petit peu plus que la moitié ont payé le maximum qu'ils pouvaient pour l'achat de leur maison. Un fait intéressant, aussi, c'était du côté des mises de fonds. Ça leur a pris moins de temps pour épargner leur mise de fonds. En moyenne, les acheteurs ont déclaré cette année avoir pris 3,4 ans pour épargner leur mise de fonds, tandis que l'année passée, ils avaient déclaré avoir pris 4,2 ans, un petit peu plus de temps.

(À l'écran : La caméra demeure sur la vue de face de Sabrina, puis passe à la vue de côté de Sabrina et Joelle après quelques instants.)

0:08:07

SABRINA GUAY : Si on regarde ceux qui étaient déjà propriétaires et qui ont acheté une nouvelle maison, typiquement, ils vont utiliser la valeur nette de leur maison précédente comme mise de fonds, tandis qu'un premier acheteur va aller chercher différentes sources. Et la source qui était la plus utilisée, c'était les dons et les héritages.

(À l'écran : La caméra passe à la vue de face de Sabrina.)

0:08:27

SABRINA GUAY : En moyenne, les acheteurs qui ont reçu un don recevaient en moyenne 80 000 $. Ça varie par province. Il y a des provinces, comme l'Ontario et la Colombie-Britannique, où ça allait jusqu'à 150 000. C'est un peu basé sur les prix des maisons. Aussi, un fait intéressant, c'est que moins d'acheteurs avaient besoin du don pour acheter une maison : 80 % de ceux qui ont reçu un don auraient quand même pu acheter s'ils n'avaient pas reçu le don. Ça nous laisse quand même une personne sur cinq qui avait vraiment besoin du don pour acheter sa première maison.

(À l'écran : La caméra passe à la vue de face de Joelle.)

0:09:00

JOELLE HAMILTON : Combien d'acheteurs ont eu besoin d'une assurance prêt hypothécaire?

(À l'écran : La caméra passe à la vue de face de Sabrina.)

0:09:05

SABRINA GUAY : L'assurance prêt hypothécaire est requise lorsqu'un acheteur met une mise de fonds de moins que 20 %. Naturellement, on voit que les premiers acheteurs vont être plus susceptibles de l'utiliser. Environ 60 % des premiers acheteurs l'ont utilisée cette année, tandis que 30 % de ceux qui étaient déjà propriétaires, qui se sont acheté une autre maison, ont utilisé l'assurance prêt hypothécaire pour les aider à acheter plus vite.

(À l'écran : La caméra passe à la vue de côté de Sabrina et Joelle.)

0:09:30

JOELLE HAMILTON : Y a-t-il des choses dont nous n'avons pas encore parlé et qui pourraient intéresser les gens qui nous écoutent aujourd'hui?

0:09:36

SABRINA GUAY : Oui, on a vu deux faits intéressants auprès des acheteurs. Premièrement, acheter une maison, ce n'est pas toujours un processus facile. C'est un gros achat. C'est, pour la plupart des gens, l'achat qui va leur coûter le plus cher dans leur vie. Alors, c'est normal que les gens aient un peu d'incertitude, mais le niveau d'incertitude est quand même élevé : 62 % des acheteurs nous ont indiqué qu'ils avaient des craintes quand ils achetaient une maison.

(À l'écran : La caméra passe à la vue de face de Sabrina.)

Le deuxième point qui était intéressant, cette année, c'est la façon dont les gens vivent. Les acheteurs nous ont indiqué que la moitié d'entre eux vivent avec un autre adulte qui n'est pas leur conjoint, que ça soit un parent, un enfant adulte ou un colocataire, et on a vu que c'était plus commun chez les plus jeunes emprunteurs. C'est peut-être une façon de gérer les coûts de la propriété. (À l'écran : La caméra passe à la vue de face de Joelle.)

0:10:29

JOELLE HAMILTON : Les taux d'intérêt sont à la baisse, mais je pense qu'on peut dire que c'est encore volatil. Quelles ont été les répercussions de ces taux sur les emprunteurs hypothécaires?

(À l'écran : La caméra passe à la vue de face de Sabrina.)

0:10:40

SABRINA GUAY : Oui. Un peu de bonnes nouvelles, cette année : les emprunteurs hypothécaires nous ont indiqué qu'ils étaient un petit peu moins affectés par la hausse des taux d'intérêt que l'année dernière. Cependant, un sur trois de ceux qui ont renouvelé leur hypothèque ou refinancé leur hypothèque nous a mentionné qu'il était hautement, fortement affecté par le taux ou modérément affecté par la hausse des taux d'intérêt. Même avec la petite diminution dans les taux au courant de la dernière année, environ la moitié des consommateurs hypothécaires nous disent qu'ils ont des inquiétudes concernant leurs paiements financiers, leurs obligations mensuelles.

(À l'écran : La caméra passe à la vue de face de Sabrina.)

0:11:21

SABRINA GUAY : Et c'est comparable à l'année dernière. La préoccupation principale, par exemple : 45 % nous ont dit que c'était le coût de la vie qui leur fournissait le plus de préoccupations sur leurs obligations financières.

(À l'écran : La caméra passe à la vue de face de Joelle.)

0:11:35

JOELLE HAMILTON : Et est-ce que ces préoccupations font qu'il est difficile pour certaines personnes de continuer de faire leurs paiements?

(À l'écran : La caméra passe à la vue de face de Sabrina.)

0:11:41

SABRINA GUAY : Il y a eu une hausse d'emprunteurs hypothécaires qui nous ont indiqué qu'ils avaient des difficultés à maintenir leurs paiements ou leurs obligations financières. Ils nous ont mentionné que les cartes de crédit étaient les plus difficiles à gérer, ensuite, les paiements hypothécaires. On a remarqué qu'il y a plus de gens qui utilisent un produit de crédit pour payer un autre produit de crédit. Ce sont des tendances qu'on va continuer à suivre dans notre sondage pour évaluer la santé financière des emprunteurs hypothécaires.

(À l'écran : La caméra passe à la vue de côté de Sabrina et Joelle.)

0:12:13

JOELLE HAMILTON : Et comment les gens ont-ils géré ces préoccupations?

(À l'écran : La caméra demeure sur la vue de face de côté de Sabrina et Joelle.)

0:12:16

SABRINA GUAY : Bonne nouvelle, la plupart des gens qui nous ont indiqué qu'ils avaient des craintes ou des difficultés à gérer leurs paiements, ou même qu'ils avaient manqué un paiement hypothécaire, font des démarches pour respecter les échéances.

(À l'écran : La caméra passe à la vue de face de Sabrina.)

0:12:29

SABRINA GUAY : Les gens font des démarches pour ne pas avoir de difficultés financières. La plupart vont diminuer leurs dépenses ou vont réviser ou suivre leur budget plus près.

(À l'écran : La caméra passe à la vue de côté de Sabrina et Joelle.)

0:12:42

SABRINA GUAY : Un fait intéressant, c'est que la moitié des emprunteurs hypothécaires nous ont indiqué qu'ils avaient des difficultés à maintenir leurs obligations, mais il y a aussi une autre moitié qui nous disent qu'ils paient leur prêt hypothécaire plus vite, qu'ils utilisent les caractéristiques de leur prêt pour faire des paiements supplémentaires ou augmenter leurs paiements. Alors, c'est intéressant de voir la dynamique.

(À l'écran : La caméra passe à la vue de face de Sabrina.)

0:13:05

SABRINA GUAY : Dans le marché hypothécaire, il y en a qui ont des difficultés, mais il y en a aussi beaucoup qui profitent de la possibilité de payer plus vite.

(À l'écran : La caméra passe à la vue de face de Joelle, puis passe à la vue de côté de Sabrina et Joelle au milieu de la question.)

0:13:12

JOELLE HAMILTON : On sait qu'il y a beaucoup de professionnels et de ressources qui sont disponibles pour les emprunteurs hypothécaires. Est-ce que tu pourrais nous expliquer ce que les emprunteurs disent au sujet de l'appui qu'ils ont reçu, tout au long du processus?

(À l'écran : La caméra passe à la vue de face de Sabrina.)

0:13:29

SABRINA GUAY : C'est intéressant, cette année, parce que les emprunteurs hypothécaires étaient plus actifs dans leurs recherches. Plus de gens ont contacté des professionnels hypothécaires, plus de gens sont allés sur des sites Web et sur les réseaux sociaux pour aller trouver de l'information sur le processus hypothécaire. Ce qui est très intéressant, c'est que sur les médias sociaux, ils ont doublé comparativement à l'année passée. Deux fois plus de gens sont allés dans les médias sociaux pour aller chercher de l'information. Même que YouTube est la plateforme la plus utilisée, cette année. L'année dernière, c'était Facebook. Donc, il y a un petit peu de changement.

(À l'écran : La caméra passe à la vue de face de Joelle, très brièvement.)

0:14:03

JOELLE HAMILTON : Oui!

(À l'écran : La caméra revient à la vue de face de Sabrina.)

(Texte à l'écran : Un bandeau « S'ABONNER » apparaît durant quelques secondes.)

0:14:04

SABRINA GUAY : Les gens sont intéressés aux vidéos qu'ils voient sur YouTube. On a vu que c'était plus les premiers acheteurs, ceux qui renouvellent et les jeunes emprunteurs hypothécaires qui allaient chercher de l'information dans les médias sociaux.

(À l'écran : La caméra passe à la vue de face de Joelle.)

0:14:20

JOELLE HAMILTON : Et est-ce que les emprunteurs vont en ligne?

(À l'écran : La caméra passe à la vue de face de Sabrina.)

0:14:22

SABRINA GUAY : Oui, c'est l'outil qui est le plus utilisé. Près des trois quarts des emprunteurs hypothécaires vont aller chercher de l'information sur des sites Web.

(À l'écran : La caméra demeure sur la vue de face de Sabrina, puis passe à la vue de côté de Sabrina et Joelle après quelques instants.)

0:14:32

SABRINA GUAY : D'habitude, ils vont aller sur des sites Web des prêteurs, des courtiers hypothécaires, des agents immobiliers pour aller voir les maisons à vendre. Il y a aussi le site Web de la SCHL. On a le guide étape par étape pour acheter une maison, qui a toute l'information dont quelqu'un aurait besoin pour acheter une maison au Canada.

(À l'écran : La caméra passe à la vue de face de Sabrina.)

0:14:53

SABRINA GUAY : Principalement, les gens allaient sur des sites Web pour comparer les taux d'intérêt. C'était vraiment la raison. L'information qu'ils cherchaient le plus, c'était les taux d'intérêt.

(À l'écran : La caméra passe à la vue de face de Joelle.)

0:15:03

JOELLE HAMILTON : Et qu'en est-il des spécialistes en prêt hypothécaire?

(À l'écran : La caméra passe à la vue de face de Sabrina.)

0:15:06

SABRINA GUAY : Plus de personnes ont contacté des professionnels hypothécaires, des prêteurs et des courtiers comparativement à l'année dernière, et les emprunteurs hypothécaires sont satisfaits de leurs interactions avec les prêteurs et les courtiers. Même qu'ils nous ont dit qu'ils se sentent plus préparés à être propriétaires et à gérer leur budget après leur transaction avec eux, comparativement à l'année dernière.

(À l'écran : La caméra passe à la vue de face de Joelle.)

0:15:30

JOELLE HAMILTON : Donc, nous avons toujours examiné les tendances en matière de rénovations, dans notre enquête, et je sais que c'est la deuxième année d'affilée que nous analysons les améliorations écoénergétiques que les emprunteurs ont faites ou prévoient de faire.

(À l'écran : La caméra passe à la vue de côté de Sabrina et Joelle.)

0:15:46

JOELLE HAMILTON : Qu'est-ce que tu peux nous dire au sujet des tendances dans la rénovation?

(À l'écran : La caméra passe à la vue de face de Sabrina.)

0:15:51

SABRINA GUAY : Ce sont 55 % des emprunteurs hypothécaires qui ont effectué des rénovations dans les trois dernières années et 75 % qui planifient faire des rénovations dans les cinq prochaines années. Un quart des gens planifient faire des rénovations pour améliorer l'efficacité énergétique de leur maison et environ 30 % planifient faire des rénovations écoénergétiques dans les cinq prochaines années. Et ces types de rénovations, les améliorations écoénergétiques, ça porte ses fruits parce que 93 % de ceux qui ont effectué des rénovations écoénergétiques en sont extrêmement satisfaits, et presque 80 % ont vu des économies dans leur facture d'énergie.

(À l'écran : La caméra passe à la vue de côté de Sabrina et Joelle.)

0:16:35

SABRINA GUAY : Le coût demeure l'obstacle principal pour faire des rénovations écoénergétiques; 63 % des emprunteurs savent qu'ils peuvent inclure les coûts de rénovation dans leur prêt hypothécaire. Il y a aussi beaucoup de différents programmes pour aider à rendre ce type de rénovation plus abordable. La SCHL offre une réduction jusqu'à 25 % de la prime d'assurance prêt hypothécaire pour les maisons écoénergétiques ou les gens qui font des rénovations écoénergétiques. Visitez notre site Web pour les critères d'admissibilité et le formulaire.

(À l'écran : La caméra passe à la vue de face de Sabrina.)

0:17:13

SABRINA GUAY : Aussi, cette année, on a vu que plus de gens ont fait des rénovations pour ajouter un logement secondaire. Et même que 30 % des emprunteurs hypothécaires ont déjà un logement secondaire et un sur dix qui n'en a pas planifie d'en ajouter un.

(À l'écran : La caméra passe à la vue de côté de Sabrina et Joelle.)

0:17:30

JOELLE HAMILTON : Donc, merci beaucoup, Sabrina, d'être revenue nous parler à notre balado. C'est la deuxième fois que nous avons la chance de te parler à propos de l'Enquête auprès des emprunteurs hypothécaires.

(À l'écran : La caméra passe à la vue de face de Joelle, qui s'adresse directement à la caméra.)

0:17:44

JOELLE HAMILTON : Mais cette fois-ci, on souligne que c'est le vingt-cinquième anniversaire de l'Enquête. Et je veux aussi remercier les personnes qui nous ont regardées et écoutées aujourd'hui. Vous trouverez dans la description au bas de notre écran un lien vers le rapport complet de l'Enquête auprès des emprunteurs de la SCHL.

(À l'écran : La caméra demeure sur la vue de face de Joelle.)

(Texte à l'écran : Un bandeau « S'ABONNER » apparaît durant quelques secondes.)

0:18:03

JOELLE HAMILTON : N'oubliez pas de vous abonner à notre chaîne YouTube pour découvrir d'autres conversations importantes dans notre balado. À bientôt.

(Texte à l'écran : Sous notre toit, Balado sur le logement au Canada)

(À l'écran : Transition animée vers un arrière-plan composé de diverses silhouettes de maisons et de portes.)

00:18:12

JOELLE HAMILTON : Et saviez-vous que nous ne sommes pas seulement sur YouTube?

(À l'écran : Transition animée vers les logos de Spotify, Apple Music et Amazon Music.)

00:18:15

JOELLE HAMILTON : Vous pouvez maintenant nous trouver sur Spotify, Apple Podcasts et Amazon Music.

(À l'écran : Transition animée entre les différents affichages de texte.)

(Texte à l'écran : Ne ratez pas nos prochains épisodes! Partager, Suivre, S'abonner)

00:18:23

JOELLE HAMILTON : Ne ratez pas nos prochains épisodes pour découvrir d'autres discussions authentiques et fondées sur les données. Si ce balado a été instructif et amusant, partagez cet épisode, suivez-nous ou abonnez-vous. Et surtout, dites-nous ce que vous en pensez.

(Texte à l'écran : À la prochaine!)

0:18:39

JOELLE HAMILTON : Merci et à la prochaine.

(À l'écran : Transition animée vers les logos de la SCHL et du gouvernement du Canada.)