Passer au contenu
SCHL - Page d'accueil
Société canadienne
d'hypothèques et de logemen
  • Se connecter ou S'inscrire
  • English
  • MENU
MENU
× English
  • Accueil
  • Professionnels
    • Financement de projets et financement hypothécaire
      • Programmes de financement
        • Fonds pour le logement abordable
        • Fonds d'innovation pour le logement abordable
        • Programme de prêts pour la construction d'appartements
        • Programme canadien pour des logements abordables plus verts
        • Logement communautaire (social)
        • Initiative des terrains fédéraux
        • Financement du logement des Autochtones
        • Défi d’offre de logement
        • Innovation et recherche
        • Profils de projets de la Stratégie nationale sur le logement
        • Initiative pour la création rapide de logements
      • Produits d’assurance prêt hypothécaire
        • Assurance prêt : propriétaires-occupants et petits immeubles locatifs
          • SCHL Achat
          • SCHL Améliorations
          • SCHL Immeubles locatifs
          • SCHL Refinancement
          • SCHL Nouveaux arrivants
          • SCHL Travailleurs autonomes
          • SCHL Transférabilité
          • Produits écologiques pour les prêteurs
        • Immeubles collectifs et logements locatifs
          • APH Select
        • Cas de défaut, demandes de règlement et propriétés à vendre
        • Centre de souscription
        • emili
        • Prêteurs agréés en vertu de la LNH
        • Calcul des rapports ABD et ATD
        • Comment reconnaître et signaler la fraude hypothécaire
        • Points de contact – Assurance prêt hypothécaire
        • Programme d’Achat de Prêts Hypothécaires Assurés (PAPHA)
      • Titrisation
        • Titres hypothécaires LNH
        • Obligations hypothécaires du Canada
        • Programmes inscrits canadiens d'obligations sécurisées
        • La chaîne de blocs dans le secteur de l’habitation
    • Marché du logement, données et recherche
      • Calendrier des rapports
      • Marchés de l’habitation
        • Rapports sur le marché de l’habitation
        • Rapports : hypothèque/consommateur
        • Rapport sur le marché locatif, automne 2024
      • Recherche sur le logement
        • Consultations
          • Loi sur l’interdiction d’achat d’immeubles résidentiels par des non-Canadiens
            • Loi sur l’interdiction d’achat d’immeubles résidentiels par des non-Canadiens – Foire aux questions
        • Rapports de recherche en habitation
        • Enquêtes sur le logement
          • Enquêtes auprès des consommateurs
        • Prix et bourses de recherche
        • Les besoins impérieux en matière de logement
        • Réseau conjoint de recherche en matière de logement
      • Données sur le logement
        • Tableaux de données
          • Caractéristiques des ménages
          • Données sur le marché de l’habitation
          • Données sur la dette hypothécaire et la dette à la consommation
          • Données sur le marché locatif
        • Portail de l’information sur le marché de l’habitation
        • Tableau de bord de données sur le secteur des prêts hypothécaires résidentiels
        • Entente de licence avec la SCHL pour l’utilisation de données
        • Centre du savoir sur le logement
    • Innovation et leadership dans le secteur
      • Innovation dans le secteur du logement
      • Nos partenaires
        • Partenariats
        • Forum fédéral-provincial-territorial sur le logement
      • Collaboration avec l'industrie
        • Communauté d’experts en logement
      • Expertise de l’industrie
        • Logements abordables
        • Logement des Autochtones
        • Logement pour aînés
        • Logements accessibles et adaptables
        • Création de logements durables
        • La RESSOURCE
        • Bulletins de la SCHL
    • Événements et conférenciers
      • Conférences
        • Conférence nationale sur le logement de 2024
          • À propos
          • Conférence nationale sur le logement - Ordre du jour
          • Emplacement
          • ZoneInno
          • Détails pour les participants
      • Bureau des conférenciers
        • kevin-hughes-profile
  • Consommateurs
    • Acheter une maison
      • Calculateurs pour l'achat d'une habitation
        • Calculateur hypothécaire
        • Calculateur de la capacité d’emprunt
        • Calculateur de l’amortissement de la dette
      • Guides d'achat
        • L’achat d’une maison étape par étape
        • Logements en copropriété – guide de l’acheteur
      • Assurance prêt hypothécaire pour les consommateurs
        • En quoi consiste l’assurance prêt hypothécaire?
        • Suis-je admissible à l’assurance prêt?
        • Coûts de l'assurance prêt hypothécaire SCHL
        • Les produits Eco de la SCHL
          • SCHL Eco Améliorations
          • SCHL Eco Plus
        • Options de financement pour la rénovation
        • FAQ – L’assurance prêt hypothécaire
      • Incitatifs à l’achat d’une propriété
      • Nouveaux arrivants
      • L’Incitatif à l’achat d’une première propriété
    • Posséder une maison
      • Gérer un prêt hypothécaire
        • La fraude hypothécaire
        • Conseils pour une bonne planification hypothécaire
        • Planifier et gérer son prêt hypothécaire
        • Votre dossier de crédit
        • La valeur de votre habitation
      • Vieillir chez soi
        • Choix de logements pour les aînés
        • Conseils en matière de logement et de finances
        • Options de financement hypothécaire pour les 55 ans et plus
        • Prévenir la fraude et l’exploitation financière
    • Louer un logement
      • Je veux louer un logement
        • Points à considérer avant de louer un logement
        • Types de logements locatifs au Canada
        • Trouver ou annoncer un logement locatif
        • Visiter le logement
        • Baux et contrats de location
        • Signature du bail
        • Enquête de crédit et mauvais dossier de crédit
        • Paiements du loyer et dépôts
        • Colocataires et animaux
      • Je suis locataire
        • Jour du déménagement
        • Responsabilités du propriétaire et du locataire
        • Inspections
        • Entretien et réparations
        • Plaintes et expulsions
        • Augmentations de loyer
        • Lorsque vous n’avez pas les moyens de payer le loyer
        • Renouveler ou résilier le bail
        • Quitter le logement
      • Supplément unique à l’Allocation canadienne pour le logement
      • COVID-19 : Expulsions – Interdictions et interruptions pour soutenir les locataires
  • Info SCHL
    • Objectifs, valeurs et engagement de la SCHL en matière de logement
    • Découvrez la vie à la SCHL
    • Gestion et gouvernance
      • Bureau des conférenciers
      • Assemblée publique annuelle de la SCHL
      • Le Conseil d’administration de la SCHL et ses comités
      • Notre comité de gestion
      • Gouvernance du Régime et de la Caisse de retraite
        • Vue d'ensemble du Régime et de la Caisse de retraite
        • Rôles et responsabilités clés
        • Rapports annuels
    • Rapports de la Société
      • Rapport annuel 2023 de la SCHL
      • Évaluation des programmes
      • Rapports financiers trimestriels
      • Examen spécial de la SCHL – rapport de 2018 des co-auditeurs
      • Données sur les reports de prêts hypothécaires assurés par la SCHL
      • Résumé du Plan d'entreprise
      • Transparence
        • Accès à l'information et protection des renseignements personnels
        • L’accessibilité à la SCHL
        • Processus de rétroaction sur l’accessibilité
        • Documents d'information
        • Approvisionnement
          • Programme de diversité des fournisseurs
        • Dépenses de voyages, d’accueil et de conférences
    • Communiquez avec nous
      • Points de contact – Assurance prêt hypothécaire
      • Bureaux régionaux
      • Granville Island
      • Solutions de logement pour les Autochtones et le Nord
      • Bureau national
      • Calendrier des jours fériés
  • Salle de presse 
  • Stratégie nationale sur le logement
    • En quoi consiste la Stratégie?
      • À propos des initiatives
      • Comment faire une demande
      • Aide et ressources
      • Stratégie nationale sur le logement – Glossaire des termes courants
    • Ententes fédérales-provinciales-territoriales sur le logement
    • Autres possibilités de financement et de contribution de la SCHL
  • L’Observateur du logement
  • Balado sur le logement au Canada
  • Carrières
  • Centre du savoir sur le logement
 
  • Accueil
  • Salle de presse 
  • Accueillir le changement en période de transformation : Une étude de cas de la SCHL
  • Enregistrer
  • Partager
Save Icon

Enregistrer dans Mon dossier

Accueillir le changement en période de transformation : Une étude de cas de la SCHL

Enregistrer
Fermer cette fenêtre   |   Gérer Mon dossier
Save Icon

Enregistrer dans Mon dossier

Accueillir le changement en période de transformation : Une étude de cas de la SCHL

Done C’est fait!
Fermer cette fenêtre   |   Gérer Mon dossier
Share icon

Partager par

  • Facebook
  • LinkedIn
  • Courrier
  • Impression
  • CopyLink

SuccessCopyLinkVersionLien copié

Share icon

Partager par

  • Facebook
  • LinkedIn
  • Courrier
  • Impression
  • CopyLink

SuccessCopyLinkVersionLien copié

share icon

Mail-blue Partager par courrier électronique

Did You Know Fr?

You can include an email signature Fr ?

S'inscrire | Se connecter

×
Google Captcha Loader
share icon

Mail-blue Partager par courrier électronique

Done C’est fait!
Close this window

Accueillir le changement en période de transformation : Une étude de cas de la SCHL

31 janvier 2018

Discours principal par

Romy Bowers, Chef de la gestion des risques, SCHL - CMHC

Accueillir le changement en période de transformation : Une étude de cas de la SCHL

13th Crown Corporate Conference
de L’Institut Canadien
Ottawa (Ontario)
Le 31 janvier 2018


 

Seul le texte prononcé fait foi

Bon après-midi. C’est un plaisir pour moi d’être avec vous pour aborder le dernier thème de ces deux jours de conversations sur la gouvernance et l’innovation.

Il convient tout à fait de terminer cette activité par une discussion sur le risque. Parce que, selon notre expérience à la Société canadienne d’hypothèques et de logement, une solide gestion des risques stimule la bonne gouvernance et l’innovation.

Il y a une citation bien connue : « Un navire qui reste dans le port est en sécurité, mais ce n'est pas pour cela que sont construits les navires. » Nous aussi, en tant que sociétés d’État, avons été constituées pour servir la population canadienne. Pas pour rester à l’abri dans le port.

En fait, dans ce climat, le véritable danger est de rester dans le port. Le tsunami de changements que nous avons connu au cours des 10 dernières années est puissant et étendu. Nous ne pouvons pas simplement rester au port pour échapper à la tempête. La tempête est la nouvelle normalité – et nous devons aller au-devant d’elle.

Cela signifie que nous devons planifier en fonction du risque. Nous devons prendre des risques gérés afin de devenir plus agiles. Nous devons trouver des façons novatrices de remplir nos mandats et d’améliorer la vie des Canadiens. Sinon, nous risquons de perdre notre raison d’être ou, pis encore, de perturber les marchés, de déstabiliser l’économie ou d’affaiblir le tissu social du Canada sans le vouloir.

C’est pourquoi une priorité clé de la SCHL est de comprendre le risque et de le gérer de façon efficace. Cette priorité est au cœur d’une importante transformation de notre organisation, que nous appelons la SCHL en mouvement. Cette transformation touche nos programmes, notre structure, nos relations avec les clients, nos technologies informatiques et numériques, et notre personnel.

Comme tous les bons gestionnaires de risques, nous observons et analysons les répercussions. Et nous apprenons quelques leçons en cours de route. J’aimerais vous faire part de ces leçons en espérant qu’elles alimenteront les conversations au sein de votre organisation au sujet du risque et de l’innovation.

À propos de la SCHL

Les perturbations à grande échelle nous obligent à poser des gestes audacieux. C’est ainsi que la SCHL a été créée. Les militaires qui sont rentrés au Canada à la fin de la Seconde Guerre mondiale avaient besoin de logements. La SCHL a été fondée pour répondre à ce besoin énorme.

Quatre-vingts ans plus tard, répondre aux besoins des Canadiens en matière de logement demeure la mission de la SCHL. Mais le contexte et les perturbations qui affectent les besoins en matière de logement ont changé. Et ils continuent de changer à une vitesse record. Les facteurs en cause comprennent notamment les migrations de populations à l’intérieur du pays, le vieillissement démographique, un Canada plus diversifié, le changement climatique, les technologies numériques et la crise financière mondiale.

Tous ces facteurs ont profondément affecté les lieux de résidence des Canadiens, leurs modes de vie et leurs besoins en matière de logement.

Beaucoup d’entre vous connaissent la SCHL à travers ses produits d’assurance prêt hypothécaire. Ces produits aident les Canadiens admissibles dont la mise de fonds est inférieure à 20 % de la valeur de la résidence à devenir propriétaires. Ce qui était une innovation à l’époque a aidé de nombreux Canadiens à accéder à la propriété. Nos programmes de titrisation sont moins connus. Ils permettent aux institutions financières d’accéder à un financement fiable pour l’octroi de prêts hypothécaires.

Ensemble, ces programmes représentent des milliards de dollars par année. Ils contribuent à la stabilité financière du Canada en soutenant un solide système de financement de l’habitation. Ils rapportent également des revenus importants au gouvernement du Canada.

La SCHL contribue de façon importante à la situation financière du gouvernement. L’an dernier, par exemple, nous avons versé un dividende spécial de 4 milliards de dollars, et nous avons commencé à verser des dividendes trimestriels supplémentaires lorsque le capital réel dépasse les cibles.

Mais comme ces programmes sont soutenus à 100 % par le gouvernement, ils peuvent aussi exposer les contribuables à des risques.

La crise du logement aux États-Unis, qui a mené à une crise économique mondiale, est un rappel récent de l’ampleur de ce risque.

Vous connaissez peut-être aussi la SCHL en raison de la Stratégie nationale sur le logement que le gouvernement fédéral a annoncée en novembre dernier. Nous sommes à la barre de cette ambitieuse stratégie – un investissement historique pour répondre aux besoins en matière de logement des citoyens les plus vulnérables du Canada. Cet investissement de 40 milliards de dollars sur 10 ans servira à :

  • réduire l’itinérance chronique de 50 %;
  • créer 100 000 nouveaux logements;
  • réparer 300 000 logements existants;
  • protéger 385 000 ménages de plus contre la perte de leur logement abordable;
  • protéger 530 000 logements communautaires afin que les familles puissent dépenser moins pour le logement et plus pour d'autres biens essentiels.

Cette stratégie représente un degré sans précédent de leadership fédéral en matière de logement ici au Canada – et peut-être à l’échelle internationale. Je suis convaincue que la confiance que le gouvernement a manifestée à l’égard de la SCHL en lui demandant de diriger cette stratégie est directement liée aux mesures que nous avons prises au cours des cinq dernières années pour transformer et renforcer notre gestion des risques. Ces efforts nous ont mis en position de force pour mettre en œuvre la stratégie. Tout au long de mes remarques, je vais plaider la cause d’une solide gestion des risques. Je commencerai par parler de la façon dont elle a propulsé notre transformation.

La SCHL en mouvement – le pouvoir transformateur du risque

D’après les programmes que je viens de décrire, il est clair que les enjeux auxquels la SCHL fait face sont importants. Ils sont au cœur du bien-être économique et social du Canada. Nous devons donc évaluer soigneusement le risque inhérent à tout changement que nous apportons et à toute intervention que nous effectuons.

Cela signifie que, dans le passé, la SCHL avait une profonde aversion au risque. Elle préférait passer inaperçue. Elle restait à l’abri dans le port.

Mais lorsque la SCHL a amorcé sa transformation pour devenir plus agile, plus prête à anticiper et à gérer le changement, il est devenu clair qu’elle ne pouvait y parvenir qu’en accueillant le risque.

Je vais vous présenter une courte vidéo que nous avons créée pour montrer aux employés de la SCHL à quel point une gestion centrale des risques est essentielle à notre transformation.

La dernière personne à prendre la parole dans la vidéo est notre président et premier dirigeant, Evan Siddall, qui est le plus grand champion de l’accueil des risques. Evan travaillait auparavant dans les services bancaires d’investissement. Il comprend que, pour avoir un impact, nous devons prendre des risques. Et ce risque doit être géré de manière responsable. D’autant plus que nous agissons au nom des Canadiens. Une mauvaise décision peut avoir des conséquences importantes pour notre système de logement et notre stabilité financière.

À titre de chef de la gestion des risques, je ne peux pas insister suffisamment sur l’importance d’avoir un champion des risques à la tête d’une organisation. Cela signifie que je peux compter sur son soutien – et sur celui de notre conseil d’administration – pour créer une solide culture du risque à l’échelle de l’organisation. Et pour fixer un objectif : que la SCHL soit reconnue comme un chef de file mondial de la gestion des risques en matière de logement.

Cet objectif est si essentiel à notre travail qu’il a été incorporé à notre énoncé stratégique. Il fait du risque un aspect attendu et valorisé de notre approche du travail.

Il s’agit d’une énorme réalisation, surtout lorsqu’on tient compte de la situation dans laquelle nous nous trouvions il y a cinq ans.

Comment en sommes-nous arrivés là?

Nous avons investi beaucoup de ressources et d’énergie dans la création du cadre et des activités visant à favoriser une culture du risque. Permettez-moi de prendre quelques minutes pour vous en parler…

Notre cadre de gestion du risque

Tout d’abord, la SCHL a investi dans le développement de son expertise interne. Mon poste – chef de la gestion des risques – a été créé. On m’a donné des ressources pour constituer une équipe solide capable d’accomplir notre mandat.

La première chose à faire était de renforcer notre cadre de gestion des risques.

Le cadre comprend un énoncé sur l’appétit pour le risque. Ce cadre définit le « bac à sable » dans lequel nous travaillons. Il guide nos décisions opérationnelles et indique où nous pouvons prendre des risques calculés pour nous aider à atteindre nos objectifs.

Le cadre est examiné et approuvé chaque année par le conseil d’administration. Un des comités du conseil d’administration veille à ce que les politiques, les procédures, les contrôles et les systèmes nécessaires soient en place pour identifier, évaluer et gérer les principaux risques auxquels nous sommes exposés.

Notre cadre de gestion du risque comprend également un modèle de gouvernance des risques. Ce modèle décrit les responsabilités à l’égard du risque à l’échelle de l’organisation. Il veille à ce que chaque employé à chaque niveau joue un rôle dans la gestion des risques sur trois lignes de maîtrise.

La première ligne de maîtrise est le personnel qui travaille sur le terrain avec nos clients, qui met en œuvre nos programmes et qui fournit nos services. Ces employés sont en mesure de repérer les risques et d’en faire rapport dans le cadre de leur travail quotidien.

La deuxième ligne de maîtrise est mon équipe, qui travaille en collaboration avec le chef des finances et le chef de la conformité. Nous surveillons les facteurs de risque, établissons des normes, faisons des remises en question, donnons des conseils et formons le personnel.

La troisième ligne de maîtrise est l’assurance objective et indépendante de l’équipe d’audit interne.

Le terme « trois lignes de maîtrise » évoque peut-être le jargon du domaine de la gestion des risques. Mais c’est un outil simple qui aide les organisations à différencier la prise des risques de la surveillance des risques.

Il ne s’agit pas d’ajouter un autre niveau d’administration ou d’obstacles. Il s’agit plutôt de mettre en place un mécanisme de contrôle pour gouverner les organisations en tenant compte des risques.

Voici un exemple précis : mon équipe de gestion des risques – la deuxième ligne de maîtrise – collabore avec l’équipe de l’Aide au logement chargée de financer des projets de rénovation et de modernisation des immeubles existants qui fournissent des logements aux Canadiens dans le besoin. Cette équipe serait la première ligne de maîtrise.

À l’aide des outils conçus et des lignes directrices élaborées par mon équipe, les membres de la première ligne de maîtrise ont été en mesure de repérer le risque d’accorder des fonds aux groupes non admissibles en l’absence de contrôles appropriés. Ils ont donc développé des contrôles qu’ils jugeaient efficaces.

Nous avons ensuite examiné les contrôles et le processus permettant de déterminer quels groupes étaient admissibles et quels groupes devaient être priorisés. Nous avons veillé à ce que les contrôles soient bien conçus et fonctionnent correctement.

Croissance historique du prix des maisons au Canada
Croissance historique du prix des maisons au Canada

Version texte

Risque faible (acceptable) – risque faible ou bien géré; aucune mesure nécessaire.


Risque d’atteinte à la réputation


Risque lié à l’assurance et aux cautionnements


Risque de crédit


Risque de marché


Risque de liquidité


Risque modéré (à surveiller) – risque nécessitant une attention permanente de la direction; des mesures peuvent être nécessaires


Risque stratégique


Risque élevé (à surveiller) – risque nécessitant une grande attention de la direction


Risque opérationnel


 

A risk management framework isn’t created once, then forgotten. Part of being an agile organization is continually revaluating and tweaking it.

For example, each year we report on a number of risk categories. This shows us where we need to focus and prioritize. This graph created at the end of last year, showed that our risks in terms of reputation, insurance and guarantees, credit, market and liquidity remained low.

So, with this information in hand, we know we can focus on categories of higher risk.

The fact that strategic risk is in the moderate zone tells us that we need to continue to optimize our ability as an organization to foresee and plan how to respond to changes in our environment.

The fact that operations risk was high, reaffirms our plans to continue shoring up our internal systems — namely IT systems — which have suffered from many years of underinvestment.

Identifying and addressing this risk led to and continues to inform a multi-year technology and business transformation initiative currently underway at CMHC. It’s a major push to improve client and employee experiences, create opportunities to innovate and transform our services. And in turn, it will allow us to better embrace agility and risk in our work.

Croissance historique du prix des maisons au Canada
Croissance historique du prix des maisons au Canada

Version texte

Risque faible (acceptable) – risque faible ou bien géré; aucune mesure nécessaire.


Risque d’atteinte à la réputation


Risque lié à l’assurance et aux cautionnements


Risque de crédit


Risque de marché


Risque de liquidité


Risque modéré (à surveiller) – risque nécessitant une attention permanente de la direction; des mesures peuvent être nécessaires


Risque stratégique


Risque élevé (à surveiller) – risque nécessitant une grande attention de la direction


Risque opérationnel


 

† Un résultat présenté sur fond vert indique un risque faible (acceptable) – risque faible ou bien géré; aucune mesure nécessaire
+ Un résultat présenté sur fond jaune indique un risque modéré (à surveiller) – risque nécessitant une attention permanente de la direction; des mesures peuvent être nécessaires
* Un résultat présenté sur fond rouge indique un risque élevé (à surveiller) – risque nécessitant une grande attention de la direction

L’une des choses dont je suis le plus fière – et qui a joué un rôle clé dans l’amélioration de notre capacité de gestion des risques – est notre travail de création d’une culture du risque.

Comme vous le savez, il est difficile de changer la culture d’une organisation. La création d’une culture du risque ne se fait pas de façon organique. Nous avons dû être proactifs, cohérents et déterminés à entretenir la conversation sur le risque.

Nous avons élaboré une campagne de sensibilisation des employés, intitulée « Le risque, c’est l’affaire de tous », et nous avons offert de la formation pour habiliter les employés.

Les gestionnaires sont chargés de discuter des risques avec leurs équipes dans le cadre non seulement de leur travail quotidien, mais aussi d’une conversation plus vaste sur le risque en tant qu’orientation stratégique.

Nous abordons les risques dans des blogues et des articles publiés dans notre bulletin électronique interne et sur notre intranet.

Mon équipe et moi avons organisé des séances d’information en direct pour le personnel et préparé des modules de formation en ligne pour les nouveaux employés dans le cadre du processus d’intégration.

Le changement le plus important consistait peut-être à intégrer le risque aux valeurs de la Société. Ces valeurs constituent la pierre angulaire de notre travail. Elles indiquent clairement ce que nous attendons les uns des autres.

Cette diapositive présente trois de nos dix valeurs :

« Prenez les choses en main » signifie assumer la responsabilité des réussites et des échecs.

« Soulignez tant les victoires que les échecs » reconnaît que l’échec peut constituer un risque acceptable et qu’il fait partie intégrante de l’innovation.

« Demandez “pourquoi?” » engage le personnel dans l’innovation. Nos valeurs véhiculent le message que les critiques constructives et les questionnements sont encouragés par tous les niveaux de l’organisation. Notre président renforce cette valeur et rappelle souvent au personnel que les paroles les plus coûteuses pour une organisation sont : « Nous avons toujours procédé ainsi. »

Croissance historique du prix des maisons au Canada
Croissance historique du prix des maisons au Canada

Version texte

Risque faible (acceptable) – risque faible ou bien géré; aucune mesure nécessaire.


Risque d’atteinte à la réputation


Risque lié à l’assurance et aux cautionnements


Risque de crédit


Risque de marché


Risque de liquidité


Risque modéré (à surveiller) – risque nécessitant une attention permanente de la direction; des mesures peuvent être nécessaires


Risque stratégique


Risque élevé (à surveiller) – risque nécessitant une grande attention de la direction


Risque opérationnel


 

La bonne nouvelle, c’est que ces efforts de sensibilisation portent fruit.

Nous effectuons de brefs sondages périodiques sur le risque. Au début, nous voulions simplement tracer un portrait évolutif de la mesure dans laquelle le personnel comprenait les risques et de sa sensibilisation au risque.

Au fil des ans, nous avons ajouté des questions sur les comportements liés au risque. Nous avons également défini nos aspirations touchant la culture du risque et les avons communiquées à nos employés. Ceux-ci se sentent plus habilités : l’un des faits saillants de 2017 est que 84 % des employés souscrivent à notre culture de gestion des risques.

Au cours des cinq années écoulées depuis que nous avons commencé à renforcer la culture du risque à la SCHL, nous avons également constaté de grands progrès dans les niveaux de sensibilisation et de compréhension et dans les comportements. Par-dessus tout, nous constatons une transition constante de l’aversion au risque à la prise de risques intelligente. Et nous espérons aller encore plus loin en 2018.

La valeur ajoutée de la gestion des risques

Pourquoi?

Notre expérience nous a montré qu’une approche solide et proactive de la gestion des risques peut nous aider à atteindre les objectifs organisationnels dans de nombreux domaines.

La gestion des risques montre où nous pouvons nous permettre de prendre des risques et où nous pouvons avoir l’impact le plus important. Elle clarifie notre planification et montre où nous pouvons faire preuve de leadership.

Permettez-moi de vous raconter quelques-unes de nos expériences.

Simulation de crise

Il y a quelques années, dans le cadre de notre travail sur la gestion des risques, nous avons commencé à créer certains exercices de simulation de crise pour évaluer notre solvabilité en cas d’événements cataclysmiques. Comme le dit notre président, le manque d’imagination est la seule chose qui nous empêche de faire face aux risques que nous courons.

Alors pourquoi imaginons-nous des situations cauchemardesques? Les scénarios envisagés illustrent les pires situations échappant à notre contrôle, des catastrophes comme un tremblement de terre à Vancouver, une montée en flèche des prix du pétrole sur une période prolongée, ou une période de cinq ou six ans de déflation économique mondiale. Comment ces scénarios affecteraient-ils les marchés de l’habitation et la solvabilité de la SCHL?

Au fil des ans, nous avons continué d’accroître nos investissements dans la technologie et le personnel afin d’améliorer nos processus de simulation de crise. Ces tests nous montrent qu’il faudrait un très grave ralentissement du marché de l’immobilier et une forte augmentation des taux de chômage sur plusieurs années pour éroder considérablement notre capital.

C’est là une excellente nouvelle… et cela nous aide certainement à évaluer le risque de nos décisions. Mais l’an dernier, nous sommes allés encore plus loin avec cet exercice. Nous avons décidé de partager les résultats et la méthodologie de nos tests. Cette décision est considérée comme audacieuse dans le secteur financier – et nous avons dû surmonter beaucoup d’opposition interne à cette idée.

Certains craignaient que les résultats ne soient pas bien compris. Ils craignaient que notre approche de simulation de crise attire des critiques. Nous avons réussi à dissiper cette crainte et avons tiré des leçons de cette expérience. Des clients nous ont contactés pour discuter de notre approche, et nous sommes devenus de meilleurs gestionnaires de risques en conséquence.

Je vous demanderais de réfléchir à vos propres organisations. Quelle est la propension à prendre des risques pour accroître la transparence en échange d’une plus grande crédibilité, d’un leadership accru ou de l’augmentation des possibilités d’innovation? Cette valeur est-elle bien comprise et appuyée dans l’ensemble de l’organisation?

Efficience

Une autre valeur ajoutée de la gestion des risques est l’efficience et l’efficacité opérationnelle.

Dans le cadre de notre évaluation, nous avons constaté que l’un de nos risques était la lourdeur des processus et de l’administration. Cette constatation a mené à la décision d’aplanir la hiérarchie de l’organisation et d’accorder moins d’importance aux niveaux.

Là encore, réfléchissez à votre propre organisation. Avez-vous utilisé une approche axée sur le risque pour examiner certains de vos processus? Y a-t-il des projets ou des activités à faible risque qui n’ont pas besoin d’autant de niveaux d’approbation? Y a-t-il des projets à risque plus élevé qui nécessitent une participation plus directe de la haute direction et des processus plus agiles?

Cela m’amène à un autre domaine où une solide gestion des risques a ajouté une grande valeur à la SCHL : la transformation technologique et opérationnelle.

Transformation technologique et opérationnelle (TTO)

Notre dirigeant principal de l’information est un grand partisan de l’utilisation de la gestion des risques pour prendre des décisions en matière de TI.

Nous avons travaillé ensemble et utilisé notre cadre de gestion des risques pour orienter notre décision d’impartir des volets importants de notre transformation technologique et d’adopter une approche itérative, en essayant et en testant une série de petits projets de TI. Cela nous a permis d’éviter certains des pièges repérés dans d’autres projets de TI de grande envergure du gouvernement, aujourd’hui notoires.

Nous savions que la décision de travailler avec une entreprise externe, Accenture, présentait un certain risque. Cela voulait dire renoncer à une partie du contrôle. Mais nous avons éliminé ces risques et avons réussi à les atténuer. Au point où notre entente d’impartition est devenue un modèle pour d’autres organisations gouvernementales.

Tout d'abord, nous avons envisagé un partenariat à long terme. Ce partenariat a encouragé les deux parties à investir dans la relation à tous les niveaux, en commençant par les niveaux les plus élevés. Notre dirigeant principal de l’information relève de notre président, siège au comité de direction et fait régulièrement rapport au Conseil d’administration sur les progrès de l’initiative. Notre président a clairement indiqué à tout le personnel qu’il appuie le partenariat à 100 % et qu’il est pleinement attaché à son succès.

Nous avons veillé à ce que chaque partie joue un rôle clairement défini. Chacun des partenaires ajoute de la valeur et complète la contribution de l’autre. Accenture apporte une expertise que la SCHL n’a pas. Toutefois, au bout du compte, la SCHL demeure responsable. C’est nous qui assumons le risque et qui dirigeons la prise des décisions.

Les risques sont documentés et discutés ouvertement. Et lorsque les choses vont mal, les entreprises qui ont une solide culture du risque peuvent tirer des leçons de leurs erreurs. Notre dirigeant principal de l’information a fait preuve d’honnêteté et d’ouverture envers le personnel au sujet de certains des obstacles à notre transformation numérique. C’est en tirant des leçons des erreurs et en rectifiant le tir en conséquence qu’il modélise notre culture du risque.

Mobilisation des employés

Une autre valeur ajoutée de notre approche du risque a été la mobilisation accrue des employés. La mobilisation demeure un sujet de préoccupation dans l’ensemble du gouvernement, comme l’indique le sondage annuel auprès des employés de la fonction publique.

Mais lorsque nous plaçons des employés dans la première ligne de maîtrise contre le risque, lorsque nous les encourageons à poser des questions et à prendre des risques, nous honorons leur expertise. Nous démontrons notre confiance dans leur expertise pratique unique et leur connaissance des programmes et services offerts.

Nous voulons que les employés comprennent qu’il n’y a pas d’innovation sans risque. Nos employés sont nos compagnons de route – et une gestion efficace des risques exige une innovation intentionnelle.

Les gens doivent savoir qu’ils sont responsables, et que ce n’est pas la fin du monde lorsque les risques calculés ne se traduisent pas par l’avantage prévu. Et il y a beaucoup à apprendre de l’expérimentation.

Ce n’est pas une coïncidence que l’amélioration de notre culture de gestion des risques a entraîné une amélioration correspondante des niveaux de mobilisation et de responsabilisation des employés et de leur moral.

Là encore, posez-vous les questions suivantes : Vos employés comprennent-ils les risques pour votre organisation? Comprennent-ils leur rôle dans la détermination et la gestion des risques? Comprennent-ils leur marge de manœuvre dans la prise de risques calculés? À quelles répercussions s’attendent-ils lorsque les risques ne produisent pas les résultats escomptés? Et quel est le lien avec les niveaux de mobilisation du personnel de votre organisation?

Innovation

En fin de compte, une culture du risque est une culture de transparence, d’apprentissage continu et de responsabilisation personnelle – une culture positionnée pour être agile et novatrice.

Ce qui m’amène à la valeur ajoutée de la gestion des risques que je veux mentionner et dont j’ai défendu la cause tout au long de mes remarques : l’innovation.

Le terme « gouvernement innovateur » est parfois qualifié d’oxymore. Mais le programme d’innovation nous met au défi de trouver des moyens d’en faire une réalité. Et la seule solution possible est d’accueillir le risque.

Nous favorisons l’innovation dans le secteur du logement par notre financement. Les projets de logement qui vont au-delà des modèles habituels de partenariats et de financement, par exemple. Nous devons nous assurer que nous encourageons ce raisonnement à l’interne.

Pour ce faire, nous avons inclus l’innovation dans notre appétit pour le risque. Il s’agissait d’un changement important en soi, car les énoncés sur l’appétit pour le risque sont généralement négatifs – par exemple : « Ne dépassez pas cette limite. » Nous avons plutôt inclus une déclaration positive : favoriser l’innovation.

Nous continuons de veiller à ce que les membres du personnel soient au courant du lien entre l’innovation et la gestion des risques, qu’ils en voient des exemples au niveau des pairs et des gestionnaires, et qu’ils comprennent comment l’appliquer dans leur travail quotidien.

Voici quelques exemples : à la SCHL, nous participons à une initiative multidisciplinaire appelée « L’avenir du travail ». Nous examinons notre relation avec le travail, nos méthodes de travail et les conditions qui doivent être mises en place pour faire de nous une organisation plus performante. Cette initiative compte cinq volets de travail qui portent sur les politiques en matière de RH, les espaces de travail et la technologie. Elle est fondée sur la rétroaction qui a été recueillie lors d’une tournée nationale de mobilisation du personnel de toutes nos régions.

Là encore, cette initiative n’est pas sans risque. Elle nous invite à revoir fondamentalement notre façon de travailler avec nos clients et entre nous. Mais elle reflète nos valeurs fondamentales, favorise une culture responsable et habilite nos employés. Au bout du compte, nous pensons que ces changements seront bénéfiques tout autant pour les employés que pour nos activités, nous permettant ainsi de nous concentrer sur ce qui compte vraiment.

Le risque et l’innovation se retrouvent également dans notre processus d’élaboration des stratégies. Durant ce processus, nous nous posons les questions suivantes : Quelle est la valeur de la SCHL pour les Canadiens? Comment devons-nous changer pour suivre l’évolution des besoins de notre société? Nous sommes déterminés à ne pas nous contenter de maintenir le statu quo. Nous devons être disposés à envisager des partenariats non traditionnels, à concevoir des projets et à développer des modèles de financement et de prestation si ce changement est avantageux pour les Canadiens. Toujours avec les bons outils pour identifier et atténuer les risques au fur et à mesure.

C’est ce qui donne vie à notre mandat. C’est ce qui nous permettra de continuer à jouer un rôle dans la création :

  • d’un système de logement qui peut résister à une crise financière, quelle qu’en soit la forme;
  • de lieux sûrs pour les femmes et les enfants qui fuient la violence;
  • d’un logement stable pour les personnes vivant avec le VIH/sida ou avec des toxicomanies;
  • de logements pour une population vieillissante qui veut rester engagée;
  • de logements abordables de qualité pour les nouveaux Canadiens et pour les familles vivant dans des réserves, dans le Nord ou dans d’autres régions éloignées du Canada.

Conclusion

Je veux laisser du temps pour les questions, alors je terminerai avec une citation bien connue de l'astronaute Neil Armstrong : « Il ne peut y avoir de grande réalisation sans risque. »

Les répercussions des transformations du XXIe siècle seront différentes pour vos organisations. Mais il ne fait aucun doute qu’elles seront monumentales.

En tant que dirigeants de sociétés d’État, nous devrons continuer de surveiller ces changements afin de nous acquitter de nos mandats respectifs et de mieux servir les Canadiens, chacun à sa manière. Nous devrons apprendre à mieux prévoir les répercussions, à tracer de nouvelles voies, puis à rectifier le tir pour demeurer pertinents. Nous serons examinés de plus près et devrons être plus transparents que jamais.

Mais ce qui est excitant, c’est que cela nous permet d’accueillir le risque. Vous avez l’occasion de réfléchir à la façon dont vous pouvez utiliser la gestion des risques pour mieux comprendre votre contexte en évolution. Et pour apporter des changements dans votre organisation. Comment l’évaluation des risques peut-elle vous aider à déterminer les secteurs où vous êtes le plus en mesure de faire une différence? Comment votre objectif de faire preuve d’une plus grande transparence peut-il vous aider à atténuer le risque et à renforcer votre crédibilité? Dans quelle mesure une culture du risque peut-elle vous aider à atteindre votre objectif de stimuler la mobilisation du personnel et l’innovation?

Merci. Je serai heureuse de répondre à vos questions.

Date de publication: 31 janvier 2018

Par sujet

  • Professionnels
    • Financement de projets et financement hypothécaire
    • Marché du logement, données et recherche
    • Innovation et leadership dans le secteur
    • Événements et conférenciers
  • Consommateurs
    • Acheter une maison
    • Posséder une maison
    • Louer un logement

À propos de nous

  • L’histoire de la SCHL
  • Gestion et gouvernance
  • Nos partenaires
  • Rapports de la Société
  • Communiquez avec nous
  • Carrières

Plus d’info

  • Bulletins de la SCHL
  • Bibliothèque de la SCHL
  • L’Observateur du logement
  • Salle de presse
  • La SCHL et le logement accessible
  • La SCHL sur Twitter
  • La SCHL sur LinkedIn
  • La SCHL sur Facebook
  • La SCHL sur Instagram
  • La SCHL sur YouTube
Politique sur la vie privée    |    Conditions d’utilisation    |    Transparence    |    Plan d’accessibilité    |    Rétroaction sur l'accessibilité     Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL)  ©2025 
Canada
loader icon