La SCHL recueille, analyse et publie des données sur les besoins impérieux en matière de logement depuis les années 1980.
Apprenez-en plus sur les besoins impérieux en matière de logement :
- Conditions de logement des ménages autochtones vivant hors réserve
- Ménages âgés ayant des besoins impérieux en matière de logement
- Le logement au Canada en ligne (LACEL) – tableaux de données pour la recherche (1991 - 2011)
- Tableaux de données sur les besoins impérieux en matière de logement
- Besoins impérieux de logement chez 18 % des ménages autochtones
- 20 % des minorités visibles ont des besoins de logement
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Communiquez avec votre organisme d’habitation municipal ou visitez le site de la Stratégie nationale sur le logement pour en savoir plus sur les programmes de logement dans votre région.

13 % des ménages canadiens avaient des besoins impérieux en matière de logement en 2016
- 27 % des locataires avaient des besoins impérieux, 91 % d’entre eux avaient des problèmes liés à l’abordabilité.
- Pour les ménages ayant des problèmes d’abordabilité, le manque à gagner médian pour échapper à ces problèmes était d’environ 2 500 $ en 2016.

Ménages autochtones
- Risquent 1,4 fois plus d’avoir des besoins impérieux en matière de logement que les ménages non autochtones.
- Risquent 1,5 fois plus que les ménages non autochtones de vivre dans des logements surpeuplés.
- Sur le total des ménages privés, les ménages autochtones risquent 2 fois plus que les ménages non autochtones de vivre dans des logements ayant besoin de réparations majeures.

Femmes
- 28 % des ménages dirigés par une femme ont des besoins impérieux en matière de logement.
- 27 % des femmes âgées (65+) vivant seules (ménages d’une personne) ont des besoins impérieux en matière de logement, contre 23 % des hommes dans la même situation.

Familles monoparentales
- 33 % ont des besoins impérieux en matière de logement, dont 84 % pour des raisons d’abordabilité.
- 27 % des familles monoparentales dirigées par une femme ont des besoins impérieux, contre 16 % de celles qui sont dirigées par un homme.

Ménages dirigés par une personne immigrante
- 18 % des ménages dirigés par une personne immigrante ont des besoins impérieux en matière de logement, 26,6 % lorsque l’immigration est récente.
- 27 % des ménages dirigés par une personne réfugiée ont des besoins impérieux en matière de logement, 49 % lorsqu’il s’agit de personnes réfugiées récemment arrivées.

2SLGBTQIA+
- Autres groupes vulnérables : En collaboration avec Statistique Canada, nous publierons, à compter de 2019, des données sur les conditions de logement des principaux groupes pour lesquels de l’information n’était pas disponible auparavant (anciens combattants, victimes de violence vivant dans des maisons d’hébergement et personnes 2SLGBTQIA+).

Personnes handicapées
- Les personnes handicapées de 35 à 44 ans sont les plus susceptibles d’avoir des besoins impérieux en matière de logement (27 %). Elles sont suivies par les personnes handicapées de 15 à 24 ans (19 %). Pour les personnes sans incapacité des mêmes groupes d’âge, les proportions sont de 10 % et de 12 %, respectivement.

Logement dans le Nord
- 37 % des ménages du Nunavut ont des besoins impérieux en matière de logement. Le pourcentage est de 15 % dans les autres territoires et de 13 % au Canada.
- 67 % des habitants du Nunavut sont incapables de se procurer un logement du marché sans l’aide, sous une forme ou une autre, du gouvernement ou de leur employeur.
- À Iqaluit, les logements sont parmi les plus chers au Canada pour des raisons logistiques.
Trouvez les résultats de recherche les plus récents et voyez comment les marchés de l’habitation influent sur l’abordabilité et les besoins de logement :