00:00:00:00

[Audio : Une musique rythmée joue.]

[Description : Une femme brune portant un chandail noir à manches longues est assise devant un micro posé sur une table.]

Joelle Hamilton : Comment la population canadienne va-t-elle ressentir l’incidence de la durabilité?

[Description : De l’autre côté de la table, un homme est assis face à l’animatrice, devant un micro posé sur la table. Il porte un veston bleu foncé sur une chemise bleu pâle, il a les cheveux bruns et porte des lunettes à monture noire.]

00:00:05:00

Daniel Dicaire : Les Canadiens, ils ont raison de demander du logement abordable. 100 %. Si on n’a pas la durabilité dans notre abordabilité, on peut créer un nouveau problème. Il faut qu’on réalise qu’on est tous liés.

00:00:18:00

Joelle Hamilton : Comment l’accent sur la durabilité profite-t-il aux logements abordables?

00:00:23:00

Daniel Dicaire : On pense que les primes associées à la durabilité seraient en conflit avec l’abordabilité.

00:00:29:00

[Description : Ils se trouvent dans un bureau vitré où des plantes ornent les murs blancs.]

Daniel Dicaire : Mais il faut réaliser que ça, ce n’est pas la vérité.

00:00:33:00

[Audio : La musique s’estompe.]

[Visuel : Sur un fond rouge et bleu, des formes noires apparaissent. Elles forment bientôt une rangée de maisons différemment orientées. Une boîte translucide blanche avec le symbole d’une loupe apparaît au centre de l’écran. Puis un texte apparaît à l’intérieur de la boîte : « Marché canadien de l’habitation ».]

[Animatrice : Joelle Hamilton, Communications et marketing, SCHL.]

00:00:34:00

VOIX « OFF » : Vous écoutez Sous notre toit, balado sur le logement au Canada, où nous faisons part des dernières nouvelles sur le marché canadien de l’habitation.

00:00:43:00

[Audio : La musique du générique joue.]

[Visuel : La boîte disparaît et la série de maisons se divise en 3 rangées. Les maisons se déconstruisent, se reconstruisent et se réorientent. Au centre, un texte apparaît en blanc. On peut y lire : « Sous notre toit - Balado sur le logement au Canada ».]

[Audio : La musique s’arrête.]

[Animatrice : Joelle Hamilton.]

00:00:50:00

Joelle Hamilton : Bonjour, tout le monde. Bienvenue au balado Sous notre toit. Je suis votre animatrice Joelle Hamilton.

[Visuel : Le nom « Joelle Hamilton » apparaît en blanc dans un encadré violet en bas de l’écran. En dessous se trouve la description « Communications et marketing – SCHL ».]

Joelle Hamilton : Et aujourd’hui, nous allons parler de la façon dont le secteur de l’habitation peut s’attaquer aux changements climatiques et prioriser la durabilité et l’abordabilité. Avec moi aujourd’hui : Daniel Dicaire, gestionnaire principal de la durabilité et la conservation à la Société de Logement Communautaire d’Ottawa, ou LCO. Bonjour, Daniel.

00:01:15:00

Daniel Dicaire : Bonjour, Joelle. Merci beaucoup de m’avoir ici.

00:01:18:00

Joelle Hamilton : Donc, je veux commencer en vous félicitant, toi et votre équipe, qui avez reçu cette année la Médaille de la présidence pour la recherche exceptionnelle sur le logement de la SCHL. C’est vraiment pour ta recherche sur la durabilité du logement abordable. Faque, félicitations. Et puis, on va commencer avec ce que j’aimerais comprendre plus. C’est : Que fait, au juste, la LCO? Donc, parle-nous de ce que toi et la LCO avez fait pour faire de la durabilité une composante principale du secteur du logement.

00:01:59:00

[Visuel : Le nom « Daniel Dicaire » apparaît en blanc dans un encadré violet en bas de l’écran. En dessous se trouve la description « Directeur principal des programmes d’efficacité et d’énergie durable, logement communautaire d’Ottawa ».]

Daniel Dicaire : Excellent. La durabilité, ça touche vraiment tous les aspects de notre organisation. Il y a 3 secteurs principaux qu’on regarde : les nouveaux édifices, les édifices existants, ainsi que des supports pour la communauté. Donc, du côté des immeubles neufs, tous nos nouveaux immeubles sont conçus avec une vraiment haute performance énergétique. Donc, on utilise les normes maison passive pour faire nos nouvelles enveloppes. On est en train d’installer des systèmes mécaniques à haute performance, et on installe des systèmes d’énergie renouvelable comme des panneaux solaires ou des boucles géothermiques dans tous nos nouveaux édifices.

00:02:45:00

Daniel Dicaire : Pour les immeubles existants, on fait un peu plus de planification puis de la recherche. Donc, on a fait un inventaire de tous nos gaz à effet de serre, les 27 000 tonnes de gaz qu’on émet à chaque année. De là, on a aussi fait un projet pilote sur un de nos blocs de maisons où on les a convertis à net zéro énergie et net zéro gaz à effet de serre. On prend les leçons de ce projet-là puis on essaie de les incorporer dans nos actifs.

00:03:11:00

Daniel Dicaire : Donc, on travaille avec Hydro-Ottawa présentement pour être en train de faire des études de cas de comment est-ce qu’on peut décarboniser chaque pièce d’équipement quand vient le temps de les remplacer. Donc, on est capables d’appliquer ça aux 17 millions de pieds carrés de logements qui nous appartiennent, quel potentiel de réduction qu’il y a avec quel morceau d’équipement, combien ça va coûter, et quel va être l’impact sur le réseau énergétique en général. Puis dernièrement, l’infrastructure avec la communauté… J’ai mentionné les 27 000 tonnes que le LCO émet. Il y a aussi probablement à peu près 36 000 tonnes que les locataires émettent parce qu’ils sont en train de brûler du gaz naturel dans nos fournaises qui nous appartiennent, ou il y a des déchets organiques qui ne sont pas déviés, ou il y a même leurs véhicules qui ne sont pas nécessairement capables d’avoir une corde d’extension pour l’apporter au stationnement. Donc, notre responsabilité, premièrement, c’est d’améliorer l’infrastructure. Donc, faire possible que quelqu’un puisse charger son véhicule, ajouter de l’infrastructure pour séparer les organiques, puis installer des thermopompes avec les fournaises. Et vraiment, la dernière partie, c’est : on fait beaucoup de recherches, comme j’ai mentionné. On fait des partenariats avec l’Université d’Ottawa, l’Université de Toronto, ou de Carleton, même de Waterloo. On fait des partenariats avec d’autres organisations comme Ressources naturelles Canada.

00:04:45:00

[Visuel : Une boîte avec un texte dans lequel il est écrit « S’abonner » à côté d’un symbole de cloche apparaît brièvement à l’écran.]

Daniel Dicaire : Et effectivement, c’est comme ça qu’on a eu le prix de la Médaille du président. Parce qu’on a utilisé un de nos nouveaux projets comme un cas d’étude pour être capables de vraiment analyser l’impact de la durabilité sur nos nouveaux édifices.

00:04:59:00

Joelle Hamilton : Donc, les concepts de durabilité et d’abordabilité du logement ne semblent pas être liés. Ça fait que comment l’accent sur la durabilité profite-t-il au logement abordable et à la population canadienne?

00:05:15:00

Daniel Dicaire : Ça, c’est vraiment la clé. C’est un concept vraiment clé. Parce que, comme tu dis, on pense que les primes associées à la durabilité seraient en conflit avec l’abordabilité. Mais il faut réaliser que ça, ce n’est pas la vérité. Puis à Logement Communautaire d’Ottawa, on sait que l’abordabilité et la durabilité, ils sont main dans la main. La réaction instinctive, des fois, c’est, quand on a une crise de logement, on dit : « Hé. Il faut augmenter l’offre vite, très rapidement. » Donc, on met l’accent sur les prix les plus bas possibles, pour le loyer ainsi que pour la vente. Puis typiquement, ça ne va pas inclure la durabilité. Mais on a déjà vu ce genre de rationnel, et nous autres, on peut confirmer qu’on a vu que ça peut créer quelque chose qu’on appelle « la pauvreté énergétique ». Parce que oui, tu peux faire un loyer de peut-être 100 $, mais ça n’aide pas si tes factures d’électricité ou ton chauffage, c’est 500 ou 600 $ par mois. Ça, c’est ce qu’on voit quand peut-être des développeurs, ils prennent l’approche de ne pas regarder l’étanchéité d’air pour leurs édifices ou de ne pas mettre beaucoup d’isolant. Ou des fois même, ils louent les systèmes mécaniques au lieu de les installer. Ça, c’est toutes des stratégies qui poussent le problème d’abordabilité sur le locataire ou sur le client éventuel. Ce n’est pas de la vraie abordabilité. Logement Communautaire d’Ottawa, on est les propriétaires à long terme pour tous nos immeubles : 50 à 100 ans. Donc, on peut voir que avoir un haut rendement énergétique dans nos édifices, ça va payer, ça donne des épargnes. Ça vaut la peine de, peut-être, la petite prime qu’il va y avoir sur le coût capital d’un projet, parce qu’on va voir les épargnes pour le long terme. Puis en plus, il faut qu’on réalise que c’est un investissement pour notre futur, mais les décisions qu’on est en train de prendre, quand on conçoit ces édifices-là, ils vont être là encore plus long… ils vont être encore ici quand nous autres, on va être partis. Donc, c’est non seulement un investissement dans le futur, c’est dans le futur de 50 ans. Tu ne peux pas vraiment concevoir un édifice puis penser juste aux 5 prochaines années. Il faut que tu penses à 50 ou à 100 ans. Et si tu es vraiment sérieux en ce qui concerne l’abordabilité, dans le terme de 50 à 100 ans, tu dois avoir de la durabilité dans ce système-là. Surtout quand ta crise de logement est en train de rencontrer une crise climatique.

00:07:56:00

Joelle Hamilton : Quelle est la voie à suivre dans l’avenir? Et comment peut-on prioriser la durabilité du logement au cours des 10 prochaines années?

00:08:05:00

Daniel Dicaire : C’est une vraiment bonne question. Il faut prioriser la durabilité, puis à la fin de la journée, ça va toujours être une question d’argent. Donc, pour la prioriser, la durabilité, il faut qu’on montre le montant de contribution à l’économie canadienne que ça peut avoir. Puis, la bonne nouvelle, c’est que c’est vraiment une mine d’or. Quand on parle de la durabilité dans les immeubles, c’est vraiment une grosse opportunité pour l’économie canadienne. On parle en ce moment qu’on a besoin de créer plus d’emplois. Bien, on a besoin de tellement d’ouvriers pour être capables d’installer les panneaux solaires, les fenêtres, les thermopompes, les isolants… En plus, on peut même inviter les mêmes ouvriers qui sont en train de travailler sur des systèmes pétroliers pour venir travailler sur les systèmes géothermiques. C’est vraiment le même genre d’équipement, c’est le même genre de formation. On a aussi besoin des manufacturiers qui vont venir ici offrir les technologies, offrir les produits. Puis en plus, on a besoin qu’ils forment nos ouvriers d’entretien pour qu’on soit capables de maintenir et d’entretenir nos édifices pendant les prochaines 50 à 100 années. Et en plus, si on essaie d’éviter les tarifs, bien, la plupart des compagnies ou des manufacturiers qui produisent ce genre de technologies en ce moment, c’est des compagnies de l’Europe. Donc, il y a vraiment une opportunité pour faire des partenariats d’échange avec des nations qui sont un petit peu plus alignées avec nous, puis ça va bénéficier les 2 nations. On sait qu’on va dépenser des milliards de dollars sur notre logement dans les prochaines 10 années. Il faut vraiment s’aligner pour être certains qu’il y a le plus de Canadiens, de compagnies canadiennes, d’ouvriers canadiens qui sont capables de capturer ça pour notre économie, et pas simplement envoyer notre argent à l’externe. Il faut qu’on réalise que dans le modèle qu’on a présentement, pour les édifices qui sont peut-être moins efficaces, nos communautés et nos municipalités sont en train d’importer la plupart de leur énergie. Donc, ça, ça veut dire qu’on envoie notre argent en quelque part d’autre. En même temps, on est vulnérables aux fluctuations des prix pétroliers. Ce n’est pas nécessairement nous qui sommes en contrôle de la situation. Avec les édifices à haute performance, avec les panneaux solaires, l’énergie géothermique, l’énergie solaire, vraiment, tu es en train de créer de l’énergie localement. Tu as besoin des ouvriers locaux en train d’installer et d’entretenir tes systèmes. Tout cet argent-là, ça va à des compagnies locales. Ça garde notre argent ici, dans l’économie canadienne.

00:10:15:00

Joelle Hamilton : Donc, parlons maintenant en termes concrets. J’ai 2 questions pour toi. Les 2 questions sont pas mal reliées ensemble. Un : Comment la population canadienne va-t-elle ressentir l’incidence de la durabilité? Et deux : Qu’est-ce que tout cela signifie pour un ménage moyen au Canada qui se cherche un logement?

00:11:14:00

Daniel Dicaire : Premièrement, les Canadiens, ils ont raison de demander du logement abordable. 100 %. Mais comme on l’a mentionné avant, il faut qu’on réalise que l’abordabilité et la durabilité, ils sont main dans la main. On a parlé de créer de la pauvreté énergétique avant. Si on n’a pas la durabilité dans notre abordabilité, on peut créer un nouveau problème, qui serait peut-être une pauvreté énergétique communautaire.

00:11:44:00

[Visuel : Une boîte avec un texte dans lequel il est écrit « S’abonner » à côté d’un symbole de cloche apparaît brièvement à l’écran.]

Daniel Dicaire : Il faut qu’on réalise qu’on est tous liés, on est entrelacés à cause du réseau énergétique. Et donc, nos futurs sont entrelacés avec le réseau énergétique. Qu’est-ce que ça aurait l’air d’avoir de la pauvreté énergétique au niveau communautaire? Bien, si on continue à bâtir comme on bâtissait il y a 30 ans, sans vraiment d’emphase sur la durabilité, et sans rénover les édifices existants qu’on a… Ces édifices qui sont inefficaces, c’est un peu comme une auto qui prend 2 stationnements quand tu es à l’épicerie le dimanche, puis c’est vraiment, vraiment pacté. Ils prennent trop de place. Ils prennent plus de place qu’ils devraient sur notre réseau qu’on partage. Donc, qu’est-ce que ça, ça veut dire sans la durabilité? Tu as moins d’espace sur ton réseau pour mettre le volume de logements que tu as besoin pour les Canadiens. Et en plus de ça, ça veut dire moins de logements, et ces logements-là, ils ont des taux plus élevés pour leur chauffage, parce qu’il y en a moins sur le réseau. Tu es en train de créer un problème en essayant de résoudre un autre problème. On s’apprête présentement à dépenser des milliards de dollars sur notre logement, mais si on n’inclut pas la durabilité, on va finir par avoir à dépenser des milliards de dollars sur l’infrastructure après. Donc, vraiment, si un ménage moyen au Canada veut de l’abordabilité, il devrait être en train de demander de la durabilité aussi. Et on devrait demander qu’on aille rénover les immeubles qui existent aussi. On a besoin de faire plus de place sur notre réseau. Et la durabilité, c’est vraiment comment on va préserver nos immeubles qui existent présentement, parce qu’on doit les garder pour vraiment augmenter le stock net. À la fin de la journée, si on incorpore la durabilité avec l’abordabilité, ça veut dire que plus de maisons peuvent être ajoutées sur un réseau qui est capable, qui a de la place pour. Ça veut dire que le coût de chauffage, le coût d’électricité va être moindre. Donc, il va être aussi abordable que la maison abordable qu’on vient juste de bâtir. Ça veut dire qu’on va avoir un marché du travail qui va être plus compétitif, il va y avoir plus de technologies qui vont améliorer les prix. Puis tout cet argent-là devrait aller vers des compagnies canadiennes, des ouvriers canadiens, puis vraiment rester dans les poches des Canadiens. C’est vraiment ça l’opportunité qu’on a à incorporer la durabilité et l’abordabilité ensemble dans le logement.

00:14:20:00

Joelle Hamilton : Donc, j’aimerais que tu nous donnes un petit aperçu des projets que la LCO a cette année. Et puis aussi, si on est intéressé, comment peut-on suivre leur progrès?

00:14:36:00

Daniel Dicaire : On a plusieurs choses très intéressantes qui se passent en ce moment. Comme j’ai mentionné, on a déjà bâti 600 maisons qui sont vraiment à haute efficacité. On est en construction présentement sur un autre 600, puis on essaie d’en avoir à peu près 1 000 en conception, prêtes à développer. Du côté des immeubles existants, vraiment là, la question c’est de… On va faire ces études de cas-là pour être capables de planifier la décarbonisation de nos édifices. Puis j’encourage n’importe quelle compagnie qui a plusieurs édifices à faire la même chose, parce qu’on a vraiment tous besoin de le faire ensemble pour augmenter l’abordabilité puis la durabilité. Et dernièrement, on fait des différents projets pour supporter la communauté de la recherche, mais en même temps, on fait des programmes pour avoir des bornes de charge pour véhicules électriques. À travers nos communautés, on fait de l’auto-partage, on est en train de faire des programmes pour être capables de séparer les vidanges organiques, pour faire certain qu’elles ne vont pas dans l’enfouissement. On a toutes sortes de projets comme ça. La durabilité, ça touche vraiment tous les aspects du logement.

00:15:51:00

Joelle Hamilton : Et c’est tout pour notre épisode aujourd’hui. Un grand merci à toi, Daniel, d’avoir été avec nous aujourd’hui. Et puis, on compte bien te suivre, et suivre le progrès de la LCO en matière de durabilité. Et merci à toutes les personnes qui ont pris le temps de se joindre à nous aujourd’hui « Sous notre toit ».

00:16:10:00

[Visuel : Un texte blanc apparaît à l’écran : « Sous notre toit - Balado sur le logement au Canada », par-dessus de maisons en rangée noires, sous un fond rouge et bleu. Les maisons se déconstruisent, se reconstruisent et se réorientent.]

[Animatrice : Joelle Hamilton, Communications et marketing, SCHL.]

Joelle Hamilton : Et saviez-vous que nous ne sommes pas seulement sur YouTube?

[Visuel : Le texte en blanc glisse et disparaît. Il est remplacé par les logos blancs de Spotify, Apple Podcasts et Amazon Music.]

Joelle Hamilton : Vous pouvez maintenant nous trouver sur Spotify, Apple Podcasts et Amazon Music.

[Visuel : Les 3 logos glissent vers le haut de l’écran et son remplacés par un texte en blanc : « Ne ratez pas nos prochains épisodes! » 3 rectangles translucides avec les mots « Partager », « Suivre », et « S’abonner » apparaissent sous le texte. Puis les rectangles se combinent en un seul qui disparaît.]

Joelle Hamilton : Ne ratez pas nos prochains épisodes pour découvrir d’autres discussions authentiques et fondées sur les données. Si ce balado a été instructif et amusant, partagez cet épisode, suivez-nous ou abonnez-vous. Et surtout, dites-nous ce que vous en pensez. Merci, et à la prochaine!

[Visuel : Le texte disparaît puis est remplacé par un texte en blanc où il est écrit : « À la prochaine! ».]

00:16:46:00

[Visuel : Le logo de la SCHL et le mot-symbole « Canada » apparaissent à l’écran sur un fond blanc.]

[Audio : La musique s’estompe.]